Evitons les mélanges !

Publié le par un-jour-une-antenne

Faut-il être contre ?

 

Contre qui ?

 

Contre quoi ?

 

Contre    le fait de ne pas toujours appliquer les textes qu’on a écrits et dont on fait la publicité et prône le grand nombre d’avantages sans les prouver…

 

Contre    le fait d’ignorer la Constitution… sans préambule…

 

Contre    des antennes qui surgissent un peu n’importe où sans prévenir…

 

Contre    des choix qui sont imposés sans concertation préalable…

 

Contre   des lieux qui ne correspondent pas totalement aux critères de choix scientifiquement établis auxquels on fait par ailleurs toujours référence…

 

Contre    des normes de plus en plus obsolètes auxquelles on se raccroche pourtant…

 

Contre    le refus de considérer une légitimité à l’interrogation…

 

Contre    le refus d’accorder une crédibilité même minimale à ses interlocuteurs…

 

Contre    le refus d’envisager la moindre forme de discussion…

 

Contre    le refus de « vulgariser » afin de dénigrer les néophytes…

 

Contre    des publicités tronquées dans les argumentaires…

 

Contre    le fait de jouer l’usure afin de gagner plutôt que la coopération…

 

Contre    le fait d’user du poids financier…

 

Contre    le fait le refus d’admettre un risque raisonnable…

 

Contre    le refus de prendre la moindre précaution, ni même d’envisager de…

 

 

Déjà dans ces premiers cas :               OUI !

 

Mais dans les cas contraires :              NON !

 

 

 

Alors, comprenons-nous bien !

 

P.S.

 

Tenter de ridiculiser ses concitoyens en déclarant avec aigreur que parmi eux il y a des utilisateurs du téléphone portable pour soulever des incohérences est un argument primaire sans espoir autre que la fuite en avant.

 

Il est intéressant et instructif de découvrir les quelques lignes personnellement adressées sur un tract, dans un amalgame polychromique, la considération que l’on peut avoir de personnes qui osent légitimement interroger…

 

Il souligne en quelques lignes à la fois ce qui peut être pris pour une méconnaissance désinvolte du sujet et une certaine marque de condescendance associée à une forme de mépris à notre égard.

 

Serait-ce une attitude berlusconienne ?

 

 

 

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